Je les ai abandonnés
Publié le 30 Août 2016
Coucou,
me voici de retour de vacances, il faut que je vous chronique les quelques livres que j'ai lu, il y en a eu moins que je l'espérais! Je ferai peut-être aussi un petit billet sur mes vacances pour parler de ce que j'ai vu.
En attendant, voici un article sur ceux qui ne m'ont pas convaincue cette année!
Lorsque j’étais plus jeune, je répugnais à abandonner un livre, je me forçais à le lire jusqu’à la fin ! A présent, j’ai moins de scrupules. En effet, avec une vénérable PAL de plus de 270 livres, je préfère me consacrer à des livres que j’aimerai ! De plus, ayant découvert le troc et la revente d’occasion (ainsi que l’achat), je préfère que ces livres trouvent un foyer qui leur conviendra mieux. J’ai décidé de faire un petit billet sur les derniers que j’ai laissé en cours de route afin d’expliquer pourquoi, car je ne fais jamais de chroniques complètes sur les livres abandonnés.
Les mensonges de Locke Lamora de Scott Fynch (aout)
C’est une réelle surprise car j’avais vraiment envie de l’aimer, j’avais lu beaucoup de bien sur ce livre. Pourtant, malgré mes efforts pour m’y intéresser, arrivée à la moitié, je n’étais toujours pas emballée ! De plus, les incessants allers-retours dans le passé m’ont un peu déstabilisée. Dommage car j’en attendais beaucoup.
Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia (août)
J’avoue que la période ne m’a pas intéressée, tout ce qui se passe après 1945 ne me fascine pas plus que ça. De même, les auteurs évoqués me laissent de marbre (Sartre…). Je n’ai pas aimé le narrateur non plus, qui m’a fait l’effet d’un sale gosse pourri gâté. Bref, je n’ai pas accroché du tout. Il plaira peut-être aux amateurs de cette période.
Pour tes lèvres d’Irène Cao (juillet):
J’avais offert ce livre à une amie car elle m’avait prêté le tome 1, l’ayant lu, elle me l’a passé. Si j’avais bien aimé le tome, malgré quelques réserves, ce tome 2 m’a déplu. Je ne suis pas allée au-delà de la page 100. Déjà, la présence du triangle amoureux, qui en général, me hérisse le poil ! Je ne suis pas fan à la base, mais là, l’héroïne est particulièrement indécise. Elle trompe son conjoint allègrement, avec son ex, ex qui l’a fait souffrir comme pas possible et dans les bras duquel elle retombe en moins de 5 minutes (non je n’exagère pas). De plus, je voulais le lire car cela se passe à Rome et j’adore cette ville, c’est pour moi une des plus belles villes que j’ai visitées. Cependant, soit l’auteure n’a jamais mis les pieds à Rome, soit l’héroïne est complètement tarte. Elle dit que les lignes de bus sont incompréhensibles, pour ça je suis d’accord, c’est un vrai casse-tête. Mais elle est capable de se perdre dans le métro !!! Alors, je ne suis pas une citadine, je suis même une vraie campagnarde, mais à Rome, il n’y a que 2 lignes de métro !!!!!! Même moi, j’ai réussi à m’y retrouver, en moins de 5 minutes, donc ça aussi ça m’a fait lever les yeux au ciel. Alors après ces quelques pages qui m’ont agacée au possible, j’ai décidé d’arrêter les frais.
Les dames du lac de Marion Zimmer Bradley (février) :
Je cherchais depuis longtemps un livre sur le mythe du Roi Arthur et j’avais vu ce livre tourner pas mal sur la blogosphère. Je ne dirais pas que je n’ai pas aimé, cependant, je pense que ce n’était pas vraiment le moment. Le ton était très mélancolique et certaines ellipses m’ont gênée, je l’avoue. Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages et quand ça ne prend avec aucun, j’ai du mal à poursuivre ma lecture, ce fut le cas.
Red Queen de Victoria Aveyard (janvier) :
J’ai lu beaucoup de bonnes critiques sur ce livre et j’ai eu envie de le découvrir. Pourtant, une fois de plus, je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages. Mare m’a très vite tapée sur le système. De plus, j’ai malheureusement trouvé qu’il ne se démarquait pas des autres dystopies. Je me suis arrêtée à la moitié.