Cinquante nuances plus sombres
Publié le 24 Juillet 2013
Cinquante Nuances plus sombres de E.L JAMES
Résumé : Dépassée par les sombres secrets de Christian
Grey, Ana Steele a mis un terme à leur relation
pour se consacrer à sa carrière d'éditrice. Mais Grey
occupe toujours toutes ses pensées et, lorsqu'il lui
propose un nouvel accord, elle ne peut y résister.
Peu à peu, elle découvre le douloureux passé de
son sulfureux M. Cinquante Nuances. Tandis que
Christian lutte contre ses démons intérieurs, Ana doit
prendre la décision la plus importante de sa vie...
Mon avis : Enfin le beau Christian Grey se dévoile. Il est plus torturé et plus vulnérable que jamais. Il apparaît comme un enfant en mal d’amour. Cet homme en fait n’a aucune confiance en lui. Son obsession du contrôle aurait du me mettre la puce à l’oreille. Il veut toujours tout contrôler car il a peur que la situation lui échappe. Cet homme en fait est terrorisé, par la nouveauté, par ses sentiments, par les sentiments (ou l’absence de sentiments) des autres. Il a une telle soif d’amour que cela en devient étouffant pour Ana.
Si le style d’écriture n’a pas évolué, j’ai repéré nombre de « whaou » et de « bordel », l’intrigue est un peu plus étoffée. Les scènes de sexes restent présentes, mais beaucoup moins crues.
J’ai presque ri devant certaines situations. Un personnage m’a bluffé, il s’agit de Grace Grey, la maman de Christian. Elle est d’une classe folle.
Si Mrs Robinson apparaissait un peu controversée dans le premier tome, je ne savais pas vraiment quoi en penser, (tantôt elle m’énervait, tantôt elle m’apparaissait presque sympathique), dans ce tome, on en apprend plus sur elle également.
Ana n’en finit pas de se poser des questions : je l’aime mais est-ce que je veux vivre avec lui ?… etc. Parfois c’est un peu usant et j’ai accéléré certains passages.
Ce tome est très plaisant à lire. Il ne faut pas s’arrêter à l’écriture un peu facile, voire répétitive, Christian écarquille énormément les yeux, au moins une fois par page (pas tout à fait mais presque). Bref, l’intrigue prend un peu en épaisseur. Comme le premier tome, celui-ci se termine un peu en queue de poisson et on a hâte de lire la suite.